La Voie de l'Impératrice
La Voie de l’Impératrice explore le vertige ressenti avant de prendre une décision importante. Un suspens où tout est possible. Il suffit de faire un pas mais pourquoi dans cette direction et pas une autre ?
7 femmes, danseuses et comédiennes confondues, d’âge et d’histoires différents, se retrouvent pour comprendre ce qui a décidé de leur destin. Grâce à l’histoire d’une de leurs grand-mères, elles explorent les paradoxes qui sous-tendent un choix.
7 femmes, danseuses et comédiennes confondues, d’âge et d’histoires différents, se retrouvent pour comprendre ce qui a décidé de leur destin. Grâce à l’histoire d’une de leurs grand-mères, elles explorent les paradoxes qui sous-tendent un choix.
mise en scène, texte Joséphine de Weck
interprétation Tamara Bacci, Amel Benaïssa, Amélie Chérubin-Soulières,
Zuzana Kakalikova, Emilie Maréchal, Marie-Madeleine Pasquier, Tilly Sordat
assistanat François Gillerot
dramaturgie Fabrice Gorgerat
scénographie Eugenia Poblete
construction Sergio Almeida
regard chorégraphique Nicole Morel
costumes Virginie Jemmely
aide finition Margaux Bapst
maquillage Katrine Zingg
son Luc Bersier
lumière Michi Egger
régie générale Gaspard Pedrisat
administration Laetitia Albinati
production Opus 89
coproduction Equilibre-Nuithonie — Fribourg
soutien à la résidence L’Oriental – Vevey
avec le soutien de Etat de Fribourg, Loterie Romande, Ernst Göhner Stiftung, Flux Laboratory, SSA, UBS et Bulliard Immobilier
crédit images: Pierre-Yves Massot
Le texte a bénéficié du soutien de la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon –Centre national des écritures du spectacle.
interprétation Tamara Bacci, Amel Benaïssa, Amélie Chérubin-Soulières,
Zuzana Kakalikova, Emilie Maréchal, Marie-Madeleine Pasquier, Tilly Sordat
assistanat François Gillerot
dramaturgie Fabrice Gorgerat
scénographie Eugenia Poblete
construction Sergio Almeida
regard chorégraphique Nicole Morel
costumes Virginie Jemmely
aide finition Margaux Bapst
maquillage Katrine Zingg
son Luc Bersier
lumière Michi Egger
régie générale Gaspard Pedrisat
administration Laetitia Albinati
production Opus 89
coproduction Equilibre-Nuithonie — Fribourg
soutien à la résidence L’Oriental – Vevey
avec le soutien de Etat de Fribourg, Loterie Romande, Ernst Göhner Stiftung, Flux Laboratory, SSA, UBS et Bulliard Immobilier
crédit images: Pierre-Yves Massot
Le texte a bénéficié du soutien de la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon –Centre national des écritures du spectacle.
Un ennemi du peuple de Henrik Ibsen
Thomas Stockmann, médecin de la station thermale d’une petite ville, découvre que l’eau des bains est polluée par les rejets d’industries locales. Il s’improvise alors lanceur d’alerte et bientôt martyr de la cause climatique : la « majorité compacte » fait en effet bloc et Thomas se retrouve seul contre tous. Amoureux de sa vérité jusqu’à l’absurde, sa trajectoire d’une effroyable ambiguïté le mènera à une autre grande découverte : l’homme le plus fort au monde est le plus seul.
Il y a chez Stockmann, comme chez Nora ou Peer Gynt, le désir d’une autre vie, libre, antérieure aux mensonges du pacte social. Mais pour Ibsen, le désir de vérité est toujours un petit peu suspect, et la trajectoire de son héros, obsédé par sa liberté mais incapable de voir qu’on le manipule, est court-circuitée par des débordements pulsionnels et narcissiques, un appétit de soi, un inquiétant bonheur d’être un héros de la bonne cause, qui tendent aussi ce thriller politique vers la farce.
Il y a chez Stockmann, comme chez Nora ou Peer Gynt, le désir d’une autre vie, libre, antérieure aux mensonges du pacte social. Mais pour Ibsen, le désir de vérité est toujours un petit peu suspect, et la trajectoire de son héros, obsédé par sa liberté mais incapable de voir qu’on le manipule, est court-circuitée par des débordements pulsionnels et narcissiques, un appétit de soi, un inquiétant bonheur d’être un héros de la bonne cause, qui tendent aussi ce thriller politique vers la farce.
Adaptation et dramaturgie : Jean-Marie Piemme / Mise en scène: Thibaut Wenger / Avec: Sarah Ber, Pedro Cabanas, Marcel Delval, René-Claude Emery, Michel Lavoie, Nicolas Luçon, Emilie Maréchal, Denis Mpunga, Joséphine de Weck / Scénographie: Arnaud Verley / Assistanat à la scénographie: Clara Dumont / Costumes: Claire Schirck / Lumières et direction technique: Matthieu Ferry / Sons Geoffrey Sorgius/ Musique Grégoire Letouvet /Assistanat Laura Ughetto / Régie plateau Olivier Rappo / Administration Patrice Bonnafoux, Juan Diaz / Diffusion Marie-Sophie Zayas
Durée 2h10
Dès 14 ans
Production Premiers actes, Cie conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Grand Est ; en association avec la compagnie Opus89 à Fribourg. coproductions Théâtre de Châtillon et de Clamart,
Le Nouveau Relax à Chaumont, Equilibre-Nuithonie Fribourg, l'Espace 110 à Ilzach, le Théâtre Océan Nord à Bruxelles, la Coop asbl - Shelter prod, le Centre des Arts Scéniques
Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles service du théâtre, l'Agglomération de Fribourg, SIS, l'Etat de Fribourg, la Région Grand Est, la Fondation Ernst Göhner, la Loterie Romande, taxshelter.be, ING, Tax-Shelter du Gouvernement fédéral belge, SPEDIDAM, Agence culturelle Grand Est pour les résidences de coopération
Images Christophe Urbain
Durée 2h10
Dès 14 ans
Production Premiers actes, Cie conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Grand Est ; en association avec la compagnie Opus89 à Fribourg. coproductions Théâtre de Châtillon et de Clamart,
Le Nouveau Relax à Chaumont, Equilibre-Nuithonie Fribourg, l'Espace 110 à Ilzach, le Théâtre Océan Nord à Bruxelles, la Coop asbl - Shelter prod, le Centre des Arts Scéniques
Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles service du théâtre, l'Agglomération de Fribourg, SIS, l'Etat de Fribourg, la Région Grand Est, la Fondation Ernst Göhner, la Loterie Romande, taxshelter.be, ING, Tax-Shelter du Gouvernement fédéral belge, SPEDIDAM, Agence culturelle Grand Est pour les résidences de coopération
Images Christophe Urbain
Where are you Jim?
Jim Morrison. Une icône de sa génération et des suivantes. Des prestations scéniques fulgurantes. Des écrits protestataires, une idole du rock, une beauté indéniable. Une mort prématurée à 27 ans. Lorsqu’il décide avec Ray Manzarek de fonder un groupe, il propose le nom The Doors, en disant : « Il y a le connu. Il y a l’inconnu. Entre les deux, il y a la porte. C’est ça que je veux être. » Ce voyage théâtral questionne : Aujourd’hui, quelle serait cette porte ? En porte, comme en amour, on parle d’ouverture et de fermeture. Certain·e·s se limitent aux claques.
Production: Tour Vagabonde & Opus 89.
Avec: Joséphine de Weck, François Gillerot, Gaspard Dadelsen, Clément Goethals.
Musique: Eliot Harris et Blaise Yerly.
Production: Tour Vagabonde & Opus 89.
Avec: Joséphine de Weck, François Gillerot, Gaspard Dadelsen, Clément Goethals.
Musique: Eliot Harris et Blaise Yerly.
Nous sommes la photographie - en confinement
Forcé.es d'annuler les représentations de "Nous sommes la photographie" à la Tour Vagabonde prévues en mars 2020, nous avons décidé de proposer le texte qui devait inspirer cette création collective, enregistré par chacun et chacune depuis chez soi. Découvrez l'histoire d'Hélène, Marthe, Pierre, Paul, Louise, Elisabeth et Klaus.
avec Emilie Maréchal, Joël Hefti, Patric Reves, Nicolas Müller, François Gillerot, Agathe Fellay et Joséphine de Weck
Texte: La photographie de Jean-Luc Lagarce
avec Emilie Maréchal, Joël Hefti, Patric Reves, Nicolas Müller, François Gillerot, Agathe Fellay et Joséphine de Weck
Texte: La photographie de Jean-Luc Lagarce
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La Paranoïa de Rafael Spregelburd
« Le cosmos est régi par les extraterrestres qui tolèrent la présence des humains pour la seule raison qu’ils sont capables de fiction. S’ils n’en inventent pas une en 24h, la Terre sera détruite. Cinq bras cassés doivent remplir cette mission. Y arriveront-ils ? »
texte Rafael Spregelburd / mise en scène Joséphine de Weck / assistée de Chloë Lombard / dramaturgie Fabrice Gorgerat / interprétation François Gillerot, Noémi Knecht, Michel Lavoie, Emilie Maréchal, Patric Reves / scénographie Valeria Pacchiani / costumes Anne Marbacher / maquette et marionnettes Mathilde Aubineau / construction décors Alexis Thiémard, Jonas Thiémard / vidéo Dimitri Magnin, Baptiste Roulin / création lumière Balthazar Magnin / création son Luc Bersier / conseil en manipulation Olivier Carrel / stagiaire Océane Byrde
administration Claire Félix
production Opus 89 coproduction Equilibre-Nuithonie – Fribourg
avec le soutien de Etat de Fribourg, Loterie Romande, Agglomération de Fribourg, Banque Cantonale de Fribourg, Ernst Göhner Stiftung, Affaires bourgeoisiales de la Ville de Fribourg
remerciements le Belvédère, l’école de danse La Planche, le NH Hôtel, l’illustre Atelier, Guillaume Prin, Benoît Dietrich
Spectacle créé en septembre 2019
Durée 3h15
texte Rafael Spregelburd / mise en scène Joséphine de Weck / assistée de Chloë Lombard / dramaturgie Fabrice Gorgerat / interprétation François Gillerot, Noémi Knecht, Michel Lavoie, Emilie Maréchal, Patric Reves / scénographie Valeria Pacchiani / costumes Anne Marbacher / maquette et marionnettes Mathilde Aubineau / construction décors Alexis Thiémard, Jonas Thiémard / vidéo Dimitri Magnin, Baptiste Roulin / création lumière Balthazar Magnin / création son Luc Bersier / conseil en manipulation Olivier Carrel / stagiaire Océane Byrde
administration Claire Félix
production Opus 89 coproduction Equilibre-Nuithonie – Fribourg
avec le soutien de Etat de Fribourg, Loterie Romande, Agglomération de Fribourg, Banque Cantonale de Fribourg, Ernst Göhner Stiftung, Affaires bourgeoisiales de la Ville de Fribourg
remerciements le Belvédère, l’école de danse La Planche, le NH Hôtel, l’illustre Atelier, Guillaume Prin, Benoît Dietrich
Spectacle créé en septembre 2019
Durée 3h15
Nous sommes les troubadours
Spectacle à l'arrache - créé en 4 jours - spécialement pour la Tour Vagabonde
avec Eddy Kunz, Joël Hefti, Nicolas Müller, Eliot Harris, Blaise Yerly, Chloë Lombard, Simon Vialle, Patric Reves, Anouk Werro, François Gillerot, Baptiste Savio
Crédits photographiques: Arunà Canavescini
avec Eddy Kunz, Joël Hefti, Nicolas Müller, Eliot Harris, Blaise Yerly, Chloë Lombard, Simon Vialle, Patric Reves, Anouk Werro, François Gillerot, Baptiste Savio
Crédits photographiques: Arunà Canavescini
Phèdre de Racine (en répétition)
Création collective avec Noémi Knecht, Joséphine de Weck, Elsa Guénot, François Gillerot, Simon Vialle and Patric Reves
Son: Luc Bersier
Lumière: Balthazar Magnin
Costume: Anne Marbacher
Scénographie: Alexis Thiémard
Conseil artistique: Jean-Christophe Emmenegger
Assistanat: Anouk Werro
Administration: Claire Félix
Images: Pierre-Yves Massot
Création à Nuithonie (Fribourg) 2018
Production: Opus 89 Collectif
Co-production: Fondation Equilibre-Nuithonie
Avec le soutien de la Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung and SIS
Durée 75 minutes
Spectacle créé en avril 2018
Extraits: https://vimeo.com/277475773
Son: Luc Bersier
Lumière: Balthazar Magnin
Costume: Anne Marbacher
Scénographie: Alexis Thiémard
Conseil artistique: Jean-Christophe Emmenegger
Assistanat: Anouk Werro
Administration: Claire Félix
Images: Pierre-Yves Massot
Création à Nuithonie (Fribourg) 2018
Production: Opus 89 Collectif
Co-production: Fondation Equilibre-Nuithonie
Avec le soutien de la Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung and SIS
Durée 75 minutes
Spectacle créé en avril 2018
Extraits: https://vimeo.com/277475773
Portrait de Joséphine de Weck sur les Culturbitacés de Grrif avec Céline Roduit
http://www.grrif.ch/fr/Blogs/Les-Culturbitacees/Inspirations-et-expirations-de-Josephine-de-Weck.html
http://www.grrif.ch/fr/Blogs/Les-Culturbitacees/Inspirations-et-expirations-de-Josephine-de-Weck.html
La Ballade du Mouton Noir
Une création sur la question de l'identité et la quête de liberté.
Avec Noémi Knecht, Elsa Guénot, Simon Vialle, Patric Reves and François Gillerot
Mise en scène: Joséphine de Weck
Scénographie: Alexis Thiémard
Création sonore: Luc Bersier
Création lumière: Balthazar Magnin
Création costume: Anne Marbacher
Assistanat: Anouk Werro
Administration: Claire Félix
production Opus 89 Collectif
co-production Fondation Equilibre-Nuithonie
avec le soutien de la Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung, Fondation Engelberts.
créé en avril 2016
Durée 65 minutes
Avec Noémi Knecht, Elsa Guénot, Simon Vialle, Patric Reves and François Gillerot
Mise en scène: Joséphine de Weck
Scénographie: Alexis Thiémard
Création sonore: Luc Bersier
Création lumière: Balthazar Magnin
Création costume: Anne Marbacher
Assistanat: Anouk Werro
Administration: Claire Félix
production Opus 89 Collectif
co-production Fondation Equilibre-Nuithonie
avec le soutien de la Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung, Fondation Engelberts.
créé en avril 2016
Durée 65 minutes
Souvenez-moi
"Souvenez-moi" est une création sur nos amours perdues, qui hantent nos pensées. La comédienne tente de comprendre comment on peut se perdre dans les conventions et en oublier l’essentiel. Elle conte des histoires à elle, des hisoires des autres. A tout moment, on vogue entre fiction et réalité, entre roman et hisoires vraies.
Grâce au public, la comédienne raconte. C’est sa présence qui la fait parler. D’un côté, il y a l’histoire d’une inconnue qui s’ennuie et tombe amoureuse d’un autre inconnu.
De l’autre côté, il y a cette jeune fille face au public qui lie les amours des autres aux siens. Comment aime-t-on ? Sommes-nous toujours nous-mêmes, ou aussi tous ceux que nous aimons ?
Joséphine de Weck, mise en scène par Emmanuel Dorand, remet aussi en question les conventions théâtrales. De quoi a-t-on vraiment besoin pour y croire ? Avec une lumière minimale, quelques accessoires, aucun décor et quelques morceaux de musique enregistrés par la comédienne elle-même, ils relèvent le défi d’emmener les gens ailleurs. A-t-on vraiment besoin d'autre chose que beaucoup d'imagination ?
Grâce au public, la comédienne raconte. C’est sa présence qui la fait parler. D’un côté, il y a l’histoire d’une inconnue qui s’ennuie et tombe amoureuse d’un autre inconnu.
De l’autre côté, il y a cette jeune fille face au public qui lie les amours des autres aux siens. Comment aime-t-on ? Sommes-nous toujours nous-mêmes, ou aussi tous ceux que nous aimons ?
Joséphine de Weck, mise en scène par Emmanuel Dorand, remet aussi en question les conventions théâtrales. De quoi a-t-on vraiment besoin pour y croire ? Avec une lumière minimale, quelques accessoires, aucun décor et quelques morceaux de musique enregistrés par la comédienne elle-même, ils relèvent le défi d’emmener les gens ailleurs. A-t-on vraiment besoin d'autre chose que beaucoup d'imagination ?
Et si on disait que
En août 2013, sur la terrasse du Café du Belvédère à Fribourg, s'est jouée Et si on disait que, une création sur l'enfance et ses jeux. Librement inspirée du roman "Les Enfants Terribles" de Jean Cocteau, elle raconte les aventures d'Elisabeth et de Paul, son frère, qui emmènent Gérard dans leurs voyages imaginaires. Ils ne quittent jamais leur chambre, sanctuaire où l'on célèbre un culte à l'amour et à la mort. Gérard aime Elisabeth, mais Elisabeth n'a de yeux que pour son frère et pour leurs jeux. Ils ouvrent grand les yeux et partent loin, loin, loin. Dans leurs têtes. Mais combien de temps peut-on vivre dans sa propre tête?
Ce spectacle pose la question du jeu. Que signifie jouer? Est-ce que la réalité émane aussi du jeu? Nous ne devrions pas croire aux jeux et pourtant nous ne faisons que jouer. Ces grands enfants, ou jeunes adultes, continuent à faire comme si, à s'imaginer une vie pleine de pirates et d'héroines. Pourtant, ils n'ont plus l'âge de rêver et ils devraient plutôt se confronter à la réalité. Mais ils veulent encore et toujours divaguer dans leur imaginaire. Seul le public aura le pouvoir de distinguer le rêve de la réalité. Voudra-t-il ramener nos protagonistes au monde réel ou préféra-t-il le laisser continuer à voyager dans les contrées de l'imaginaire?
Ce spectacle pose la question du jeu. Que signifie jouer? Est-ce que la réalité émane aussi du jeu? Nous ne devrions pas croire aux jeux et pourtant nous ne faisons que jouer. Ces grands enfants, ou jeunes adultes, continuent à faire comme si, à s'imaginer une vie pleine de pirates et d'héroines. Pourtant, ils n'ont plus l'âge de rêver et ils devraient plutôt se confronter à la réalité. Mais ils veulent encore et toujours divaguer dans leur imaginaire. Seul le public aura le pouvoir de distinguer le rêve de la réalité. Voudra-t-il ramener nos protagonistes au monde réel ou préféra-t-il le laisser continuer à voyager dans les contrées de l'imaginaire?