Opus 89

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Phèdre de Racine (en zoom meeting)

La semaine du 20 avril 2020 devait se jouer « Phèdre de Racine (en répétition) » au Nouveau Monde. Puis, bon, est arrivé ce qui est arrivé. Phèdre a dit: « Mon mal vient de plus loin. »
Et Trèzènes, non, Fribourg, l’Europe, le monde a été mis en quarantaine car rien ne se propage plus terriblement que la passion…
Enfermés dans nos chambres, comme Phèdre qui se languit d’amour pour Hippolyte, nous ressassons les vers de Racine. Ceci est une tentative de plus, certes foutraque, pour se rappeler notre spectacle et notre amour pour Phèdre de Racine.

Pour voir l'essai: 
https://inlive.ch/opus89/

La Paranoïa de Rafael Spregelburd

« Le cosmos est régi par les extraterrestres qui tolèrent la présence des humains pour la seule raison qu’ils sont capables de fiction. S’ils n’en inventent pas une en 24h, la Terre sera détruite. Cinq bras cassés doivent remplir cette mission. Y arriveront-ils ? »
 
texte Rafael Spregelburd / mise en scène Joséphine de Weck / assistée de Chloë Lombard / dramaturgie Fabrice Gorgerat / interprétation François Gillerot, Noémi Knecht, Michel Lavoie, Emilie Maréchal, Patric Reves / scénographie Valeria Pacchiani / costumes Anne Marbacher / maquette et marionnettes Mathilde Aubineau / construction décors Alexis Thiémard, Jonas Thiémard / vidéo Dimitri Magnin, Baptiste Roulin / création lumière Balthazar Magnin / création son Luc Bersier / conseil en manipulation Olivier Carrel / stagiaire Océane Byrde
 
administration Claire Félix
production Opus 89 coproduction Equilibre-Nuithonie – Fribourg
avec le soutien de Etat de Fribourg, Loterie Romande, Agglomération de Fribourg, Banque Cantonale de Fribourg, Ernst Göhner Stiftung, Affaires bourgeoisiales de la Ville de Fribourg
remerciements le Belvédère, l’école de danse La Planche, le NH Hôtel, l’illustre Atelier, Guillaume Prin, Benoît Dietrich


Nous sommes les troubadours

Spectacle à l'arrache - créé en 4 jours - spécialement pour la Tour Vagabonde
Crédits photographiques: Arunà Canavescini

white privilege

New solo - work in progress
Residency in Penthouse Art Residency (Brussels)
Concept & performer: Joséphine de Weck
Picture

Phèdre de Racine (en répétition)

Création collective avec Noémi Knecht, Joséphine de Weck, Elsa Guénot, François Gillerot, Simon Vialle and Patric Reves
Son: Luc Bersier
Lumière: Balthazar Magnin
Costume: Anne Marbacher
Scénographie: Alexis Thiémard
Conseil artistique: Jean-Christophe Emmenegger
Assistanat: Anouk Werro
Administration: Claire Félix​
Images: Pierre-Yves Massot
Création à Nuithonie (Fribourg) 2018
​
Production: Opus 89 Collectif
​Co-production: Fondation Equilibre-Nuithonie
Avec le soutien de la Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung and SIS
​Durée 75 minutes

Extraits: https://vimeo.com/277475773

Lecture des lettres entre Paul Celan et Ingeborg Bachmann

avec Patric Reves et Joséphine de Weck

Production: Fondation Equilibre-Nuitonie
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Semper Altum

A performance on our desire of perfection and its destruction, by Joséphine de Weck
Premiere in Fribi in October 2018. Supported by Fri-Art.

LES DEBOIRES D'UNE MACHINE A ECRIRE 
Picture
Notre cher ami l'écrivain a perdu son inspiration. Pourriez-vous l'aider?

Textes de Robert Walser
Interprète Patric Reves
Mise en scène Joséphine de Weck
Costume Anne Marbacher
Scénographie Alexis Thiémard
Son Luc Bersier

avec le soutien de Midi, théâtre! 2016

Durée: 45 minutes

Portrait de Joséphine de Weck sur les Culturbitacés de Grrif avec Céline Roduit

http://www.grrif.ch/fr/Blogs/Les-Culturbitacees/Inspirations-et-expirations-de-Josephine-de-Weck.html

La Ballade du Mouton Noir

A creation about Swiss identity, ideology and the far right wing in Switzerland.

With Noémi Knecht, Elsa Guénot, Simon Vialle, Patric Reves and François Gillerot
Direction: Joséphine de Weck
Stage building: Alexis Thiémard
Sound design: Luc Bersier
Light design: Balthazar Magnin
Costume design: Anne Marbacher
Assitant: Anouk Werro
Administration: Claire Félix

production Opus 89 Collectif
co-production Fondation Equilibre-Nuithonie
with the support of Loterie Romande, Etat de Fribourg, Agglo, Ernst Göhner Stiftung, Fondation Engelberts.
​created in 2016
length 65 minutes

SOUVENEZ-MOI

"Souvenez-moi" est une création sur nos amours perdues, qui hantent nos pensées. La comédienne tente de comprendre comment on peut se perdre dans les conventions et en oublier l’essentiel. Elle conte des histoires à elle, des hisoires des autres. A tout moment, on vogue entre fiction et réalité, entre roman et hisoires vraies. 

Grâce au public, la comédienne raconte. C’est sa présence qui la fait parler. D’un côté, il y a l’histoire d’une inconnue qui s’ennuie et tombe amoureuse d’un autre inconnu.

De l’autre côté, il y a cette jeune fille face au public qui lie les amours des autres aux siens. Comment aime-t-on ? Sommes-nous toujours nous-mêmes, ou aussi tous ceux que nous aimons ?

Joséphine de Weck, mise en scène par Emmanuel Dorand, remet aussi en question les conventions théâtrales. De quoi a-t-on vraiment besoin pour y croire ? Avec une lumière minimale, quelques accessoires, aucun décor et quelques morceaux de musique enregistrés par la comédienne elle-même, ils relèvent le défi d’emmener les gens ailleurs. A-t-on vraiment besoin d'autre chose que beaucoup d'imagination ?

Et si on disait que 

En août 2013, sur la terrasse du Café du Belvédère à Fribourg, s'est jouée Et si on disait que, une création sur l'enfance et ses jeux. Librement inspirée du roman "Les Enfants Terribles" de Jean Cocteau, elle raconte les aventures d'Elisabeth et de Paul, son frère, qui emmènent Gérard dans leurs voyages imaginaires. Ils ne quittent jamais leur chambre, sanctuaire où l'on célèbre un culte à l'amour et à la mort. Gérard aime Elisabeth, mais Elisabeth n'a de yeux que pour son frère et pour leurs jeux. Ils ouvrent grand les yeux et partent loin, loin, loin. Dans leurs têtes. Mais combien de temps peut-on vivre dans sa propre tête?

Ce spectacle pose la question du jeu. Que signifie jouer? Est-ce que la réalité émane aussi du jeu? Nous ne devrions pas croire aux jeux et pourtant nous ne faisons que jouer. Ces grands enfants, ou jeunes adultes, continuent à faire comme si, à s'imaginer une vie pleine de pirates et d'héroines. Pourtant, ils n'ont plus l'âge de rêver et ils devraient plutôt se confronter à la réalité. Mais ils veulent encore et toujours divaguer dans leur imaginaire. Seul le public aura le pouvoir de distinguer le rêve de la réalité. Voudra-t-il ramener nos protagonistes au monde réel ou préféra-t-il le laisser continuer à voyager dans les contrées de l'imaginaire?
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